Les Jardins d'Opale
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[RP] Pwaline, l'exotique Wabbit

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Message par Pwaline Mer 4 Mai - 20:38


La vie a-t-elle un but ? Pourquoi je vis ?

Quelle est la probabilité pour que moi, Pwaline, sois ici en train de penser ? Combien y avait-il de chance pour que la vie apparaisse sur notre planète, qu'elle parvienne à subsister des millions d'années, que des erreurs de copie d'ADN surviennent pendant des millions d'années d'une certaine manière, pour que l'espèce à laquelle j'appartiens apparaisse ? Quelle infime possibilité y avait-il pour que mon espèce subsiste, que des milliards d'individus se rencontrent, s'accouplent jusqu'à ce jour où deux gamètes fusionnèrent leurs noyaux pour me donner naissance ? Et encore fallait-il que je survive jusqu'à ce jour !
Combien de chance ? Je pense que même les meilleurs mathématiciens, quelques soit leur moyen fabuleux de calcule s'accorderaient tous à dire que les chances que je sois moi, ici étaient nulles.

Et pourtant je vis, je respire, je bois et j'aime. Ma vie, finalement, est précieuse...


Un piou qui se posa sur le rebord de ma fenêtre me tira de mes songes. Quelle heure était-il ? Combien de temps étais-je resté à moitié inconsciente allongée sur ce lit à penser ? Je ne saurais le dire, la perception du temps était si relative...
Je me redressai lentement, enfilai mes sandales et sorti de ma chambre. Après m'être purifié le corps dans la salle d'eau de la Villa, je me rendis dans la salle commune afin de m'y sustenter.
Il ne fallait pas que je tarde, mon contact ne m'attendrais certainement pas. Mon sac et mes affaires ayant été préparée la veille, je n'eus qu'à les attraper et quelques secondes plus tard, je claquais la porte de la grande Villa.

Le voyage s'effectua rapidement, j'avais demandé la veille au palefrenier d'apprêter ma monture dès la première lueur de l'astre du jour, et Pan était une excellente monture. Je l'avais recueillis alors qu'elle sortait tout juste du ventre de sa mère mourante, et après de longs soins j'avais réussi à établir un lien unique entre l'archosaurien et moi.
Il me fallut tout de même une demi-journée de chevauchée sans pause pour atteindre les sombres landes de Sidimotes. Il me fallait redoubler de prudence, depuis quelques temps les landes désolées n'étaient plus sûres, et on ne comptait plus les faits divers relatant d'étranges disparitions de promeneurs insouciants.

L'établissement était toujours aussi insalubre. Les chaises tenaient en équilibre sur leurs pieds rescapés d'innombrables bastonnades par je ne sais quel miracle, quant aux tables, les graffitis étaient si nombreux, que, mêlés aux rayures, ils n'étaient même plus lisibles.
A peine entrée, une odeur âcre pénétra tous mes orifices sensoriels, leur infligeant d'horribles brûlures. Mon "habitude" à me rendre en ce lieux lorsque je travaillais pour la milice Brâkmarienne me permis de réprimer toute remontée stomacale. Après avoir dégluti plusieurs fois, je me dirigeais vers la silhouette que je ne connaissais que trop bien. Mon "contact" portait un long manteau sombre et sale qui tombait jusqu'au sol. Une grande capuche ombrageait son visage, rendant toute reconnaissance impossible.
Si je n'avais pas sut qui se cachait sous le costume, je pense que je n'aurais pas été très rassurée.
C'est une voix féminine, en total désaccord avec l'allure du personnage, qui s'adressa à moi, suffisamment bas pour que nul autre que moi ne puisse entendre.


" J'ai trouvé ce que tu cherchais. "

Ce fut ses seuls paroles.

Sans exprimer la moindre émotion fasse à cette révélation, j'adressai un léger signe de la tête, but mon verre d'une traite, puis quittai l'établissement un léger sourire de satisfaction accrocher à mes lèvres.

Les évènements s'enchainaient finalement plus vite que je ne l'aurais cru...
Pwaline
Pwaline
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[RP] Pwaline, l'exotique Wabbit Empty Re: [RP] Pwaline, l'exotique Wabbit

Message par Morahti Jeu 5 Mai - 18:20

Cela faisait maintenant bientôt un an que Morahti avait quitté le continent d'Amakna, sans laisser de nouvelles.
Elle avait convenu avec Pwaline, qu'il était préférable de laisser croire à la mort de l'Osamodas pour assurer le succès de sa mission.

Le jour de son départ, elle avait veillé à ce que personne ne la voit, avait préparé ses affaires et s'était rendue à l'étable. Morahti avait ensuite chevauché durant toute la journée, portant une longue cape qui flottait derrière elle, ainsi qu'un foulard qui lui masquait le visage. Elle ne devait en aucun cas être démasquée, et bien qu'il y est peu de chance pour qu'elle croise quelqu'un de connu sur sa route, elle ne souhaitait pas prendre le moindre risque.
Son bateau l'attendait dans un endroit reculé de la baie de Cania, où personne ne passait jamais, et il lui avait fallut plusieurs jours pour y arriver.

Lorsque le bâtiment s'éloigna de la côte, elle s'était installée sur le pont, portant toujours sa longue cape et son foulard, et ses pensées s'envolèrent vers Sufokia, où Pwaline attendrait désormais son retour.
Elle ne devait pas la décevoir, après tout, une vie était en jeu...
Morahti
Morahti
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[RP] Pwaline, l'exotique Wabbit Empty Re: [RP] Pwaline, l'exotique Wabbit

Message par Pwaline Mer 20 Juil - 13:25

Toute nouvelle histoire commence par la fin d'une autre. La seule grande histoire qui déroge à cette règle est celle de la vie, car avant elle il n'y avait aucune conscience aussi faible puisse-t-elle être pour vivre pareille épopée.
L'histoire que vous allez suivre est l'histoire de la vie, du moins un fragment de cette belle histoire .
Cette histoire vous allez également la vivre et d'ailleurs vous la vivez déjà. Installez-vous confortablement cela peut durer un peu, mais vous ne le regretterez pas du moins je l'espère.


Jardinier, Plantez le décors !

Grand ciel bleu, soleil chaleureux et paysages fabuleux. Voila comment résumer brièvement tous les éléments importants de cette journée.
Nous sommes en l'an 600 un an jour pour jour avant la réalisation de la prophétie de Xélor : la ré-émergence des cités de Bonta et Brakmar.
Il fait beau et, dans un hurlement une femme vient de mourir une autre est née. Elle se prénommera Pwaline, c'est notre héroïne.



La gourmandise est un vilain défaut.

Trois ans ce sont écoulés, creusant un peu plus les visages des aïeux renforçant le corps des enfants. Le temps cet ennemis invincible est toujours là semblant accéléré sa course au fil des ans.
Nous retrouvons notre petit poupon fièrement dressé sur ses deux jambes, un large sourire sur le visage et tendant ses deux bras en direction de son géniteur. Celui-ci, vaincu par la force de séduction de la petite se résigne à la prendre dans ses bras.


" Toi tu sauras t'y prendre avec les hommes ma belle !"
" Papaa ! " fut sa seule réponse.

Ce jour était particulier: c'était l'anniversaire de la jeune fillette. La tradition de l'île voulait que l'on confectionne une soupe avec LE légume traditionnel : la Cawotte.

Alors que le brave homme préparait le repas, Pwaline jouait tranquillement dans sa chambre, et ses deux petits yeux améthystes brillaient d'impatience, car la soupe de cawotte
"c'est crô bon !"

Tout aurait pu se passer pour le mieux, si le hasard n'avait pas voulut qu'un voisin vienne sonner à la porte, obligeant le père à laisser la marmite sans surveillance. Ce bref instant suffit à Pwaline pour se glisser dans la cuisine, tremper un doigt dans la soupe orangée, puis la main, puis... elle perdit l'équilibre et tomba dans le récipient.

Lorsque le père revint quelques minutes plus tard, qu'elle ne fut sa surprise de voir sa fille, assise au fond de la marmite vide, lâchant un
"Bleurp !" dans les règles et s'écriant :

" C'est pas moi ! J'ai wien fait !"

Et oui, effet indésirable bien connu, l'indigestion de cawotte provoque des troubles de l'élocution plus ou moins importante. Depuis ce jour, Pwaline ne toucha plus à une seule cawotte de sa vie, et consewva cet accent pawticuliew.


L'horloge tourne...

La vie de la jeune fille continua son cours. Elle parti faire ses études avec son frère à Brâkmar, où elle s'engagea ensuite dans la milice, toujours avec son frère. Elle entra au sein de La Ruche, une organisation Brâkmarienne secrète, et servis Rushu du mieux qu'elle pu.
Elle était devenue une personne influente au sein de Brâkmar, ayant réussi quelques prouesse diplomatique, comme le rapprochement de la cité pourpre d'avec le peuple du Wa.

Et puis elle en eut assez de se battre, et décida de quitter la scène active de Brâkmar, et de s'installer en Amakna, où elle acheta une petite maison à Sufokia. Pwaline ne pouvant rester inactive elle se mit en quête d'un emploi, et fut recrutée par la propriétaire de la Cantoche, un restaurant dAmakna qui organisait chaque mardi sur deux une petite soirée. Elle était heureuse, et comblée.


Un nouvel Ordre

Un jour, un vieux Sadida vint frapper à sa porte. Il s'agissait de Pehdolyth, un vieux sage qui l'avait élevé à la mort de son père. C'était un éminent historien, qui s'était prit d'amour pour une antique civilisation, les irianéhens, qui vénéraient une déesse mineur, Talakia.
Il lui parla pendant des heures d'Irianah et des récentes découvertes qu’il venait de faire. Apparemment, la Déesse Talakia avait bel et bien existé, et mieux encore, son âme serait enfermée dans la grande statue d'un Temple ensevelit, prêt de Sufokia.
Lorsqu'il lui demanda de le suivre dans une expédition à Sufokia, la première réaction de la belle sacrieur à la chevelure mauve a été d’éclater de rire. Puis lorsqu'elle vit qu'il ne bronchait pas et qu’il était sérieux, elle commença à inventer de fausses excuses. Mais Pehdo, ou Pépé comme on l’appelle souvent, la connaissait bien, et il sut éveiller sa curiosité.

Ils sont donc partis tous les deux en direction d'Irianah. Il leur fallut bien une longue semaine avant de retrouver le temple perdu de Talakia, et autant pour y pénétrer.
Ils ne s'attendaient pas à ce qu'ils allaient vivre.
Lorsqu'ils furent entrés dans l’immense pièce qui autrefois devait servir de salle commune, ils restèrent silencieux plusieurs minutes, à contempler le merveilleux spectacle qu'offraient la splendeur du bâtiment.
Au centre de la pièce trônait fièrement -mais sans prétention- la statue de Talakia.

C’est un tout autre spectacle bien plus surprenant encore qui les sortit de notre torpeur : La statue faite dans une pierre de couleur bleu-vert s’illumina. Elle semblait s’être animée, et en effet, son regard plongea en eux. Il les sonda jusqu’au plus profond de leur âme, et dût les juger suffisamment digne de recevoir l’enseignement de la Déesse.
La Statue prit la parole, sa voix puissante tonnant dans toute la pièce.


"Bienvenue voyageur, bienvenue dans mon temple. Je suis la Déesse Talakia. J’ai vu qui vous étiez, qui vous êtes et que vous serez, et je vous juge digne de recevoir La Vérité. "

La Déesse nous raconta les péripéties de son peuple jusqu’à leur fin tragique. Son récit terminé, elle s’adressa directement à Pehdolyth.

" Toi qui a consacré ta vie à étudier celle de mes défunts amis, j’ai une mission à te confier. Je voudrais que tu portes mes valeurs hors de ce temple, que tous ces hommes qui étaient bons ne soient pas mort en vains. Je voudrais me venger de ces Dieux qui ne pensent qu’à leur gloire. Leur montrer que quoiqu’ils fassent, l’honneur, la justice et la sagesse triompheront toujours. "

Pehdolyth, en grand gentleman posa un genou au sol et acquiesça de la tête. Mais la statue-déesse n’en avait pas terminé, et ce fut à Pwaline qu’elle s’adressa ensuite.

" Quant à toi Pwaline, tu es sans le savoir une descendante direct des irianéhens d’antan. Car oui, il y a eut des survivants, qui ont été obligé d’abandonner mes préceptes pour pouvoir survivre dans ce monde cruel. Vois-tu ce petit coffret ? Il contient un talisman. Prend le et porte le toujours sur toi, cela nous permettra de rester en contact toutes les deux. Il faudra que tu aides Pehdolyth dans sa tache, car il est vieux et fatigué, et un jour, ce sera à toi de le remplacer. Peut être qu’un jour vous parviendrez à convertir suffisamment d’homme et de femme pour que je puisse quitter ma prison de pierre… Allez mes amis, je vous protégerai. "

Ainsi naquît l’Ordre de Talakia, fondé en l’honneur d’une Déesse déchue, qui ne souhaitait que de voir le monde dans une paix éternelle.

Quand tout va bien, trop bien.

La vie était belle pour Pwaline. L'Ordre voyait ses rangs gonfler raisonnablement et ils firent même l'acquisition de la magnifique Villa de Sufokia, qui devint très vite un lieux de convivialité entre les membres de l'Ordre et leur amis. De nombreuses fêtes y étaient organisées, parmi lesquelles nous retiendront bien sur la fête de l'Orme Blanc.
Tout semblait aller pour le mieux et Pwaline venait de faire l'acquisition de magnifiques enclos afin d'améliorer son troupeau de dragodinde lorsque la Chose se produisit.
Un matin en se réveillant, Pwaline fut prise de vertige lorsqu'elle tenta de se lever. Elle ne s'en inquiéta pas, étant donné que cela lui arrivait souvent ces derniers temps et que ça ne durait pas plus de quelques secondes. Sauf que cette fois ci, il lui fallut plusieurs minutes pour recouvrer l'équilibre. En se rendant dans la salle d'eau, elle fut de nouveau prise de vertige, et se mit à tousser d'une toux sèche qui la fit cracher un liquide noirâtre. En voyant cela, elle sut que quelque chose n'allait pas, et elle sut même identifier ses symptômes: les années passées au sein de la milice Brâkmarienne lui avaient permit de se familiariser avec les poisons les plus rares qui puissent exister sur cette terre.

Elle avait été empoisonné par l'un des plus vicieux jamais mis au point par les chercheurs de la cité pourpre, un poison capable d'agir plusieurs années plus tard. Elle compris immédiatement que quelqu'un avait voulut l'éliminer pensant prendre sa place bien avant qu'elle n'annonce qu'elle quittait son poste.
Il le lui fallait maintenant trouver l'antidote ce qui s’avérait difficile, et oui on n'a jamais besoin d'antidote à Brâkmar, puisque le poison on l'utilise -officiellement- contre l’ennemi.



Le temps des Roublards

Pour trouver un antidote, ou du moins quelqu'un de qualifié en matière de poison, Pwaline n'eut pas d'autre choix que de s'adresser au clan de roublard de La Raknaille. Étant elle-même mercenaire, il lui fallut attendre que ses crises ne s'aggravent avant qu'elle se décide.
Le Maitre du clan de La Raknaille était en réalité une femme, toute de rouge vêtue. Elle fût très étonnée de voir venir à elle un Sous-Officier de La Main -le clan de mercenaire- car les relations entre les deux clans frôlaient le zéro absolu.
Après de longues négociations, Lyhla Smisse accepta d'aider Pwaline à la condition qu'elle lui donne des renseignements top secret sur les mercenaires de La Main.

Pwaline n'eut plus de nouvelle pendant une longue semaine, durant laquelle elle eût quelques crises, puis, un jour elle reçue une missive l'invitant à venir boire un verre dans une lugubre taverne des landes de Sidimotes.
Lyhla Smisse s'était déplacée en personne, et la conversation s'engagea sans perdre de temps.


" Je dois avouer que c'est un poison extrêmement fourbe et totalement génial. Il a été conçu pour s'adapter à l'organisme et le modifier lentement afin qu'il soit lui-même capable de produire un second poison ! C'est génial, mais évidement ça demande beaucoup de temps pour que les organes puissent produire cette toxine, dans ton cas il a fallut plusieurs années. Heureusement, cette toxine je la connais bien et malgré que le traitement anti-poison soit très lourd et relativement onéreux, il est très efficace. Le problème c'est que la toxine primordiale est toujours active. C'est une sécurité au cas où quelqu'un trouve un antidote à la seconde toxine, ainsi les organes continuent à la produire et là le traitement finit par devenir inefficace.
Cependant, j'ai peut être une solution mais attention elle est très risquée. "


Lyhla marqua une pause, Pwaline en profita pour commander à boire, mais lorsqu'elle vit l'étrange mixture qu'on lui servit elle se demanda si c'était une bonne idée.
Lyhla poursuivit.


" Pour que tu comprennes tout, je vais devoir te faire un cours de Physique. Vois-tu, notre univers n'est pas unique. En réalité, il faut que tu imagines qu'il existe une infinité d'univers agencés comme les couches d'un mille-feuille. Le notre est l'une de ces couches.
Comment se créer ces univers ? Et bien à chaque fois que quelqu'un ou quelque chose est confronté à un choix, où à une situation où il y a plusieurs évènement différent qui pourraient survenir, un univers se créer pour chacune de ces possibilités. On parle d'univers parallèle, ou de réalité alternative. Ainsi il existe une multitude d'univers, avec dans certain des versions alternatives de toi, ayant fait des choix de vie différent. Il y en a où tu es morte, d'autre où tu es mère d'un dizaine d'enfants etc... !
Et bien sache que récemment, les scientifiques d'Amakna ont découvert le moyen de voyager entre ces différentes couche d'univers. Nous avons longuement enquêté là-dessus pour Vil Smisse, et il s'avère que nous avons repérer quelques univers très proche du notre.
Or il en existe un, où le traitement à la toxine qui ronge ton corps a été découvert. Et par chance, il existe un corps homologue dans cet univers... Oh pardon, un corps homologue, c'est une version alternative de toi. Oui car tu n'existe pas dans tous les univers ! Il en existe même où la vie ne s'est pas développée.

Alors voila ce que je te propose. Je dois également me rendre dans cet univers pour affaire personnelles, je te propose de venir avec moi et je te mettrais en contact avec celui qui détient l'antidote. Mais, je dois t'avertir qu'il est possible que ça ne soit qu'un aller simple, voyager entre les univers est très délicat, onéreux et risqué, nous pourrions rester coincer à tout jamais dans le néant ou nous échouer dans une autre réalité.

Ah et autre chose, seules les âmes peuvent voyager ainsi tu prendras le corps de ton homologue, elle se nomme Sanfray. Contacte moi si cette aventure te tente, autrement il ne te reste que quelques mois à vivre. "

Pwaline
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